De Montréal à la Suisse en passant par Toronto et Vancouver, le blanchiment des capitaux par l’immobilier, même fléau mêmes conséquences (Article de blogue)

Le Fonds Monétaire international (FMI) chiffre la somme blanchie chaque année à 590 milliards de dollars, ce qui représente entre 2 et 5 % du produit intérieur brut mondial (PIB) ; alors que la Gendarmerie royale du Canada (GRC) estime qu’au Canada, les organisations criminelles recyclent de 5 à 17 milliards de dollars par année dans le pays de la feuille d’érable. 

 

Cela ne fait plus l’ombre d’un doute que les conséquences découlant des activités du blanchiment des capitaux, qu’il soit sale (fruit d’activités criminelles et illégales) ou noir (fruit d’activités légales, mais non déclarées aux autorités), sont alarmantes et sont du type à menacer la paix sociale. La problématique ici en examen touche spécifiquement l’aspect économique dans l’organisation de nos communautés en tant que construit sociale. Il s’avère dès lors important d’en comprendre les mécanismes à travers le cycle économique que parcourt cette activité. 

 

L’industrie immobilière étant l’un des secteurs de prédilection des « blanchisseurs », ce septième et dernier billet de la série Transnationale Anti-Corruption Watch, s’appesantira sur la typologie des mécanismes de blanchiment dans ce secteur, illustrés à partir des villes telles que Montréal, Vancouver, et Toronto. 


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